La Trichotherapy

Je viens de découvrir cet art de sublimer les cheveux et quelle découverte !

Ma tante m’a offert ce soin pour mes 30 ans, l’idée de me faire couper les cheveux au sabre ne m’a pas tout de suite séduite de prime à bord. Mais lorsqu’elle m’a expliqué qu’il s’agissait bien plus qu’une simple coupe de cheveux, cela m’a bien sur séduite rapidement.

Qu’est-ce que la Trichothérapy ?

Je n’en avais jamais entendu parler avant ce jour, alors lorsque j’ai pris rendez-vous avec Cécile  pour découvrir cette pratique, elle m’a indiqué le nom de sa formatrice afin que je puisse faire des recherches. Si vous désirez en savoir plus, je vous invite à découvrir le site de Jill Andrieu qui a mis au point cet art.

Très brièvement et en reprenant les mots de Jill Andrieu :

« Le cheveu est un capteur. Il est telle une fibre optique captant de multiples énergies, captant des ondes lumineuses.

Les cheveux dans leur mécanisme de croissance accompagnent le corps dans des processus de détoxination. Lorsque les cheveux sont chargés de cristallisations, ces-dernières font obstacle à cette capacité qu’ont les cheveux d’être récepteurs.

Cela pourrait se comparer à un entartrage présent autour de la gaine du cheveu.

En coupant les cheveux, le coiffeur-énergéticien soutire ce qui enserre la gaine, l’enferme et altère sa capacité réceptrice et tout autant émettrice.

En utilisant cette technique, la trichothérapy, il libère le cheveu de ces densifications d’énergies.

Le cheveu est porteur de biens des mémoires… Il ne faut plus ici parler de coupe de cheveux, mais d’un véritable soin énergétique, qui amène l’être à réveiller certaines de ses propres mémoires afin de les traverser, les transformer et les libérer au sein de son existence.

Il est certain qu’un niveau de connaissance énergétique est nécessaire afin de poser l’action, le geste juste.

Le coiffeur-énergéticien devient l’outil, uniquement l’outil en conscience. Lors de la coupe un dépôt est visible sur la lame du Tantõ, ce petit sabre japonais, très ancien, qui appartenait aux samouraïs. (…) »